Pendant les vacances d’été, avec ma mère, son amoureux et ses trois filles, nous avons fait un « yes day ». C’est une journée où les parents n’avaient pas le choix de dire « oui » aux enfants, mais avec des règles qui avaient été décidées. Si la journée « aujourd’hui, c’est oui » aurait été à Val-d’Or, voici ce que j’aurais choisi.
La première chose que j’aurais fait en me levant le matin, aurait été de regarder la télévision ou de lire un livre. J’aime bien lire la série Le journal de Dylane.
Mon déjeuner aurait été des crêpes. Seulement au sirop d’érable.
Dans l’avant-midi, je serais allée jouer au parc avec ma famille. Je n’ai pas vraiment de parc préféré, mais j’aime beaucoup le parc Vanier. Ensuite, je serais allée faire du vélo sur la piste cyclable jusqu’à la forêt récréative. Sur place, j’aurais fait la piste d’hébertisme. J’aurais dîné là-bas et je serais revenue en vélo. Mon menu pour le dîner à la forêt récréative aurait été de la salade de pâtes.
En après-midi je serais allée au Toukiparc avec mes trois meilleures amies : Jeanne, Laurence et Lydia. J’aurais aussi pris une collation chez Chocolat favori.
Pour le souper, j’aurais mangé des vol-au-vent au poulet avec ma famille et mes amies.
En soirée, j’aurais fait une soirée pyjama avec mes meilleures amies en écoutant des films et en mangeant du popcorn. J’aime bien le popcorn de Monsieur s’éclate au Oreo. Pour la nuit, avec mes amies, on aurait dormi toute ensemble.
Le grain de sel de maman
Lorsque nous avons fait cette expérience lors des vacances, nous avons été étonnés des demandes des enfants qui, somme toute, étaient plutôt simples. Oui, les filles ont ingurgité une quantité de bonbons et mâchouillé une quantité de gommes plus grande qu’une journée disons « normale ». Si je me fie à cette journée, j’ai l’impression que ma fille m’aurait demandé, en plus du Chocolat favori et du Toukiparc, d’arrêter faire une séance de magasinage à la Fiesta, dans le même immeuble, où abondent les friandises et jeux loufoques que je refuse normalement d’acheter.
L’idée derrière cet exercice est de penser « en mode vacances » dans sa propre ville. Par exemple, des familles valdoriennes chosissent de célébrer la fête d’un enfant en louant une salle au Microtel et louent l’accès aux glissades d’eau intérieures. Certaines vont même jusqu’à prendre une nuitée au même hôtel pour en profiter au maximum. D’autres, optent pour la location de jeux gonflables au Cégep de l’Abitibi-Témiscamingue, une activité qui fait non seulement plaisir aux petits, mais qui leur grave des souvenirs mémorables.
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